Au cours de la rénovation urbaine, comment promouvoir le développement à pas géant d'une ville ?

De l'émergence du port maritime à la plus grande destination touristique d'Afrique de l'Ouest, Abidjan, en tant que plus grande métropole et capitale économique de la Côte d'Ivoire, tisse un tableau urbain distinct et offre un charme urbain particulier avec son agencement architectural unique, ses rues animées et ses paysages pittoresques.

À Abidjan, de nombreux regards pleins d'espoir sont tournés vers le projet du 4^e pont et vers l'avenir de cette ville. Parmi eux, la maraîchère Monica, Liu Shaoqiu, un ingénieur du chantier originaire de la République du Congo, et May, une interprète venant du Togo. Découvrons la ville d'Abidjan avec eux.

Un pont s'étend au-dessus de la baie, transformant un obstacle naturel en voie de communication. Le quatrième pont d'Abidjan, en tant qu'artère principale de la ville, revêt une grande importance dans le domaine des transports en Côte d'Ivoire. Avec une longueur totale de 7,5 kilomètres, une fois achevé, il est prévu qu'il accueillera une circulation quotidienne estimée à 70 000 véhicules, ce qui permettra d'améliorer considérablement l'environnement, les transports et l'économie de la région le long de son tracé.

Le projet permet aux habitants d'accéder à une vie plus commode. Monica, qui habite près du pont, doit passer une journée à transporter ses fruits et légumes en traversant la baie de Banco, mais après l'ouverture du pont, il ne lui faudrait plus que 15 minutes pour arriver à l'autre côté de la baie. La réduction du temps de trajet lui permettra également de gagner plus de temps pour rester avec sa famille.

Le projet permet aux employés d'acquérir des compétences techniques. Liu Shaoqiu, qui s'est engagé à construire des ponts et des routes pour son pays natal depuis son enfance, a rejoint le projet du 4^e pont d'Abidjan après avoir obtenu un diplôme en construction de routes et de ponts de l'Université de Chang'an, en Chine. « Donne un poisson à un homme, il mangera un jour. Apprends-lui à pêcher, il mangera toute sa vie. » Liu Shaoqiu a acquis ici des techniques de construction modernes. Il espère construire plus tard un véritable pont pour faciliter les déplacements des habitants de sa ville natale.

Le projet porte des rêves. May est passionnée par l'histoire et l'architecture ancienne de la Chine. C'est la raison pour laquelle elle rejoint CSCEC grâce à un recrutement. Chaque jour, elle s'occupe de la traduction des documents relatifs au pont. Avec l'érection du pont dans la baie de Banco, elle se sent pressée de se rapprocher de son rêve d' « étudier en Chine » qu'elle caresse dans son cœur.

Construit par CSCEC, le 4^e pont d'Abidjan créera une nouvelle artère urbaine, apportant de nouvelles opportunités de développement pour la ville. La nouvelle artère créera des possibilités infinies pour l'avenir et ouvre la voie aux rêves pour davantage de personnes grâce à l'interconnexion, aux échanges et à la coopération. Le développement urbain ouvre progressivement la voie à une vie plus heureuse et les gens pourront jouir plus librement de l'espace du bonheur.

Dans l'extension urbaine, la ville préserve sa vitalité, et nous rendons le monde plus desservi.

【Témoin de la renaissance de dix villes】

Qu'est-ce qu'un espace du bonheur pour une ville ?

Avec pour mission d' « élargir l'espace du bonheur », CSCEC suit de près les besoins de développement des villes et partage ses expériences en matière de développement durable. L'émission « Témoin de la renaissance de dix villes » se concentre sur dix pays et villes où se trouvent ses grands projets et raconte l'histoire de chaque endroit renouvelé avec le concept de « Renouveler, reconstruire, raviver (Renew, Rebuild, Revive) ». Le programme vise à mettre en avant les solutions personnalisées proposées par CSCEC aux problèmes communs de développement des villes.