GOMEZ Berdjilen est née dans la ville portuaire de Pointe-Noire, en République du Congo, et travaille dans la capitale, Brazzaville. Le voyage entre ces deux villes offre de magnifiques paysages et une population chaleureuse, créant une vue unique le long de la route nationale 1 (RN1) du pays.
En 2022, elle a participé à la gestion de la RN 1 en tant que responsable de la communication de La Congolaise des Routes (LCR). « Pour s'enrichir, il faut d'abord construire une route. » Un tel concept s'adapte-t-il au continent africain moderne ? Découvrons la transformation de cette route avec Berdjilen.
Reliant le centre politique au centre économique de la République du Congo, la route nationale traverse une variété de reliefs tels que des forêts vierges, des plaines côtières, des vallées fluviales et des plateaux. En trois ans, CSCEC a frayé une voie dans la forêt du Mayombe, une forêt tropicale vierge intimidante, et a accumulé un ensemble de technologies de construction ainsi qu'une expérience en gestion adaptées aux conditions géographiques et géologiques complexes de la région africaine lors de la construction du projet sur une période de huit ans.
La route nationale 1 dessert les principales villes situées le long de l'itinéraire et facilite la circulation des personnes et des marchandises. Quand on se promène dans ces villes, où des véhicules vont et viennent, et les habitants et les hommes d'affaires vaquent à leurs occupations, on peut ressentir la vitalité et l'espoir partout.
Au péage de Lifoula, il y a un « arbre de l'amitié » planté conjointement par la Chine, la France et la République du Congo. CSCEC, la société française EGIS, et le gouvernement congolais y ont conjointement créé la LCR. Dans la gestion de la route nationale 1, CSCEC est responsable de l'entretien et de la grande réhabilitation de la route, EGIS s'occupe de l'exploitation routière et le gouvernement congolais est responsable de la coordination administrative et de la sécurité armée.
Cela a non seulement reflété les efforts conjoints de trois parties, mais aussi la capacité de travail du personnel de construction. Leur coopération a également témoigné de la beauté unique de cette route. La mise en service de cette route a permis de réduire considérablement le temps et les coûts de transport dans le pays, le trafic journalier moyen a ainsi décuplé. Des céréales, des minéraux, des ressources forestières et des marchandises sont transportés vers le port de Pointe-Noire et les zones de consommation, ce qui a insufflé un élan fort au développement économique local.
Le bon état de la route a également amélioré la situation éducative le long de la route. L'équipe de CSCEC a visité à maintes reprises les écoles primaires et les foyers de l'enfance riverains, et a mené des activités caritatives afin de témoigner de la sympathie aux enfants. Des visages souriants représentent le bonheur et l'aspiration des enfants, qui sont convaincus que la RN 1 les mènera vers un avenir prometteur.
En tant que grande artère traversant la République du Congo d'est en ouest, la route nationale 1 réalisée par CSCEC dessert 65 % de la population du pays, ce qui a stimulé l'émergence de beaucoup de rues commerçantes. Dans le futur, d'autres routes seront construites ici pour former, avec la RN 1, un réseau routier complet du Congo.
La vie s'améliore progressivement ici. Cette « route vers la prospérité » bénéfique aux parties prenantes aide la République du Congo à avancer vers un avenir meilleur. Une route plate et confortable est un lien vers le bonheur, rendant les voyages entres les villes agréables.
【Témoin de la renaissance de dix villes】
Qu'est-ce qu'un espace du bonheur pour une ville ?
Avec pour mission d' « élargir l'espace du bonheur », CSCEC suit de près les besoins de développement des villes et partage ses expériences en matière de développement durable. L'émission « Témoin de la renaissance de dix villes » se concentre sur dix pays et villes où se trouvent ses grands projets et raconte l'histoire de chaque endroit renouvelé avec le concept de « Renouveler, reconstruire, raviver (Renew, Rebuild, Revive) ». Le programme vise à mettre en avant les solutions personnalisées proposées par CSCEC aux problèmes communs de développement des villes.