La route nationale n° 1 de la République du Congo, construite en 8 ans par CSCEC, est la seule artère reliant Brazzaville à Pointe-Noire, respectivement centres politique et économique du pays. Grâce à sa mise en service, le temps de trajet entre les deux villes, auparavant d'une semaine, ne met plus que 6 heures, ce qui améliore considérablement le niveau des transports routiers du pays. Cette route a ainsi été surnommée « la route rêvée » par les Congolais.

En tant que plus grand projet de coopération entre la Chine et la République du Congo, la route nationale n° 1, d'une longueur de 536 km, a été inaugurée le 1er mars 2016.

Le gouvernement congolais, en collaboration avec CSCEC et une société française de conseil en ingénierie, a créé une société concessionnaire assurant la gestion de la route nationale n°1, La Congolaise des Routes (LCR). Cette dernière est officiellement entrée en opération en mars 2019. En adoptant un mode de gestion international, la société, tout en garantissant une sécurité maximale de circulation, a réalisé une valeur ajoutée des actifs et un développement durable de la route.

Au cours des trois dernières années, la gestion routière de la LCR est devenue de plus en plus mature et la coopération tripartite a progressé de manière stable. Le gouvernement congolais a qualifié ce projet de référence créative pour les Congolais dans la résolution des problèmes de gestion et d'entretien des routes. Dans le même temps, le projet a créé de nombreux emplois pour les Congolais et a apporté de nombreuses opportunités commerciales aux résidents le long de la route pour augmenter leurs revenus. À travers des mesures avancées de gestion et d'entretien, la LCR a fourni une route confortable et sûre au peuple congolais, permettant à cette artère économique de contribuer de manière durable à la revitalisation économique des régions le long de la route et à la croissance économique congolaise.

Un poste de péage près de Brazzaville sur la route nationale n° 1

 « Le bonheur est de réaliser un rêve. Je vais continuer à protéger cette "route rêvée" pour qu'elle soit sûre et fluide. Que la route nationale n°1 nous aide à développer l'économie, à réaliser nos rêves et à aboutir à un avenir meilleur », a ainsi déclaré Keziah, une employée congolaise de CSCEC.